Citas

"Et rappelez-vous ce que l’Histoire nous apprend: les révolutions ne se font pas à moitié, et soit elles triomphent pleinement, soit elles sont vaincues, que l’on passe de l’extrême révolution à l’extrême réaction. Bien entendu, soyez surs qu’on ne nous comptera pas au rang des vaincus".

Renvoi au texte original: À la clôture du Dixième Congrès de la Centrale des travailleurs de Cuba (CTC), 21 novembre 1959
« Ceux d’entre nous qui avons lu l’histoire de l’Amérique, qui avons réfléchi plus d’une fois, depuis que nous avons acquis nos premières notions de politique, depuis que nous avons eu les premières idées de ce qu’était ce continent-ci, de ses origines, de son histoire, nous avions du mal à comprendre pourquoi notre Amérique en était arrivée là… pourquoi nous avions vécu si absents, si distants, si indifférents envers ceux dont nous ne sommes séparés bien des fois que par un fleuve ou une ligne imaginaire ou une montagne ou un bras de mer, alors que nous sommes dans le fond et pour l’essentiel la même chose. »
Renvoi au texte original: Clôture du Premier Congrès latino-américain des jeunesses, 6 août 1960
« à travailler, à organiser et à mettre en marche l’esprit créateur, l’enthousiasme de la Cubaine, pour qu’elle fasse disparaître à cette étape révolutionnaire jusqu’au dernier vestige de discrimination et qu’elle occupe, par ses vertus et ses mérites, la place qu’il lui correspond dans l’histoire de la patrie. »
Renvoi au texte original: À la création de la Fédération des femmes cubaines qui constitue un nouveau pas dans l’unité du peuple autour de ses dirigeants révolutionnaires, 23 août 1960

"C’est ça la Révolution, qui cherche le meilleur de la patrie et, avec le meilleur de la patrie, prépare l’avenir meilleur de tous les Cubains. Et nous allons de l’avant avec ce que nous avons. Ce que nous avons n’est pas parfait, nous avons reçu l’héritage du passé, un héritage négatif sous bien des rapports".

Renvoi au texte original: DISCOURS PRONONCÉ PAR FIDEL CASTRO RUZ SUR LE GRAND ESCALIER D’HONNEUR DE L’UNIVERSITÉ DE LA HAVANE, le 27 novembre 1960

La Révolution est le plus complexe et le plus troublé de tous les événements historiques. C’est là, comme nous l’apprend l’Histoire,  une loi incontournable de toutes les révolutions; aucune véritable révolution n’a jamais manqué d’être un processus extraordinairement troublé, ou alors ce n’en est pas une.

Renvoi au texte original: Au défilé effectué sur la Place civique (La Havane), 2 janvier 1961.
« Notre Révolution fait partie des événements qui marqueront l’Histoire, et les générations futures de Cuba, d’Amérique et du monde entier parleront demain avec admiration du peuple qui la fait et de la génération qui la fait. »
Renvoi au texte original: Au meeting d’hommage aux martyrs de l’Attaque du Palais présidentiel, le 13 mars 1957, 13 mars 1961

“Les forces qui meuvent les peuples, véritables bâtisseurs de l’histoire, et qui sont déterminées par les conditions matérielles de leur existence et par l’aspiration à des buts supérieurs de bien-être et de liberté – lesquelles naissent quand le progrès de l’homme dans les domaines de la science, de la technique et de la culture le permet – ces forces-là sont supérieures à la volonté des oligarchies dominantes et à la terreur qu’elles font régner”.

Renvoi au texte original: Discours à la Deuxième Assemblée Générale Nationale du Peuple de Cuba, Place de la Révolution, le 4 février 1962